« D’elle » interroge les modèles face à l’œuvre sculptée de Bourdelle. Visiteurs assidus du musée Bourdelle à Paris, les deux membres d’Unclear picture ont été inspirés par les sculptures de Bourdelle et le jardin intérieur du musée. Avec la participation d’Elsa, de Samaya et de Ting, Unclear picture a choisi de réfléchir sur le moment avant la pose et questionner la part du modèle dans l’œuvre.
Avec « D’elle, dans le jardin intérieur des modèles », Unclear picture poursuit ses interrogations sur l’œuvre photographique, musicale et écrite. Michel Maurel s’est inspiré de la série des photos de Samaya, de Ting, d’Elsa prises par Sylvain Entressangle pour en décrire des pensées en forme de poèmes et de musique. Ces pensées correspondent à l’évolution de leur attitude avant ou après la pose. Elles en sont une réinterprétation, un sentiment, comme un monologue intérieur révélé par certains de leurs gestes. Au prise entre la volonté de recréer exactement la pose inspirée des sculptures de Bourdelle, leur propre interprétation et le regard du photographe, les modèles tentent de s’en extraire et participent ainsi à la création d’une nouvelle œuvre basée sur leur propre histoire intime.
Le concept « D’elle, dans le jardin intérieur des modèles » présente donc, en un va et vient original, textes, musiques et photos. « D’elle » peut ainsi être perçu comme les ponctuations d’un récit photographique que l’instantané saisit, que le poème nomme et que la musique accompagne. Comme l’indication d’un parcours ponctué de musique, la vidéo permet d’animer la série photos, et de présenter en même temps les textes.
Avec « D’elle, dans le jardin intérieur des modèles », Unclear picture poursuit ses interrogations sur l’œuvre photographique, musicale et écrite. Michel Maurel s’est inspiré de la série des photos de Samaya, de Ting, d’Elsa prises par Sylvain Entressangle pour en décrire des pensées en forme de poèmes et de musique. Ces pensées correspondent à l’évolution de leur attitude avant ou après la pose. Elles en sont une réinterprétation, un sentiment, comme un monologue intérieur révélé par certains de leurs gestes. Au prise entre la volonté de recréer exactement la pose inspirée des sculptures de Bourdelle, leur propre interprétation et le regard du photographe, les modèles tentent de s’en extraire et participent ainsi à la création d’une nouvelle œuvre basée sur leur propre histoire intime.
Le concept « D’elle, dans le jardin intérieur des modèles » présente donc, en un va et vient original, textes, musiques et photos. « D’elle » peut ainsi être perçu comme les ponctuations d’un récit photographique que l’instantané saisit, que le poème nomme et que la musique accompagne. Comme l’indication d’un parcours ponctué de musique, la vidéo permet d’animer la série photos, et de présenter en même temps les textes.